le spectacle de rue des petits arrangements entre amis,
soldé par un match "nul" entre
la ligue du Pays des merveilles et le pilote du Concordia.
Le match a été vite terminé, les joueurs sont rentrés au Vestiaire.
Que faire des éternels redoublants à charge de la collectivité ? Certes, ils ont l'air très heureux, mais leur pérennisation ad vitam rend-elle les autres heureux ?
Il faudrait commencer par réduire les rations à la cantine de la république, supprimer la double portion de frites, plus de pain avec les nouilles, aller au Pin sec et à l'eau pour réviser les gestes de nage à contre-courant, ... et favoriser un réel suivi d'accompagnement pour leur prise de conscience alimentaire par le sevrage, dans l'intérêt de leur santé physique et mentale.
De là, tout redevient possible, la vue du réel s'affine en regardant plus loin que dans la glace du comptoir, l'ouïe refonctionne au point d'entendre les autres plus distinctement, la langue est bien plus souple qu'en bois même fraichement coupé, la digestion plus régulée donnant plus accès aux fondements de l'humilité.
Trêve de sarcasmes, le projet de piétonnisation partiel ou total de la rue principale comme des décisions d'inversion de sens des rues ne peut raisonnablement être traité par 2 commerçantes qui n'ont pas la compétence urbanistique pour appréhender l'ensemble des conséquences. Il s'agit de ne pas systématiquement voir midi à son pas de porte.
Tous ces troubles sont naturellement alimentés par le désintérêt manifeste de celui qui devrait contenir les ardeurs précipitées et s'en instruire avant de déclarer toujours trop hâtivement, "Dites moi ce que vous voulez et je le ferai ..." alors que notre logiciel nous traduit "Dites moi ce que vous voulez et je ferai ce que je veux ...".
Ce n'est pas la recherche d'un geste magique qui va redonner de la fréquentation en centre ville s'il n'y a pas offre de nécessité première, comme les fruits et légumes entre autres exemples de produits qu'il serait élémentaire de trouver dans un pays où tout pousse, mais où l'inconscience continue à nous persuader de pousser plus vite un caddie pour aller acheter des produits transformés au moins cher mais qui nous tuent à petit feu.
Ce n'est pas la recherche d'un geste magique qui va redonner de la fréquentation en centre ville s'il n'y a pas offre de nécessité première, comme les fruits et légumes entre autres exemples de produits qu'il serait élémentaire de trouver dans un pays où tout pousse, mais où l'inconscience continue à nous persuader de pousser plus vite un caddie pour aller acheter des produits transformés au moins cher mais qui nous tuent à petit feu.
En synthèse, Alice envoie sa liste des merveilles de son pays dans une lettre au père Noël dès le mois d'août, ce qui conduit naturellement l'enfant du Pays à se mettre en cuisine et d'en faire tout un plat, servi en salle du conseil, sans qu'il soit là, mais sous l'autorité républicaine des Mariannes, lui même sans doute trop occupé à l'assemblage du prochain millésime improbable de deux mille vins.
Le Père Noël n'existe pas, PS: mais c'est pas grave, je ne sais pas lire.
NO COMMENT...
les lesparrains ne s'y s'ont pas trompés,
les petits arrangements entre amis d'un jour
n'auront pas tenu jusqu'aux frimas et auront vite fondu
comme neige au soleil aoûtien.
JPA pour ALV